L’aquariophilie responsable, un enjeu important

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Transcription texte du podcast sur l’aquariophilie responsable :

Il se peut que la transcription du podcast sur l’aquariophilie responsable soit approximative, je m’en excuse par avance 🙂

« Dans cet épisode, nous allons parler de l’aquariophilie responsable. C’est un sujet que je trouve important à évoquer avec vous. On va parler de différentes pratiques et astuces pour mettre tout ça en place. On va tous en détails sur l’aquariophilie responsable juste après le jingle. C’est parti !

aquariophilie responsable

Bonjour à toutes et à tous, c’est Léon Barbot du blog Aquarium Facile. J’espère que vous allez bien. Bienvenue dans cet épisode consacré, comme vous l’avez compris à l’aquariophilie responsable. C’est un sujet crucial. On a tous, je pense, une certaine sensibilité à l’environnement si on est dans l’aquariophilie, si vous êtes là, forcément, je pense que les poissons, la nature, ça vous intéresse. Donc c’est un sujet qui je trouve, méritait un épisode. Aujourd’hui, on va parler de l’aquariophilie responsable, la protection des écosystèmes d’origine et comment on pourrait réduire l’impact de notre passion sur l’environnement, les différentes alternatives, les bonnes pratiques à mettre en place.

L’aquariophilie responsable, le démarrage

Donc tout d’abord, comment rentrer un peu plus dans le comment démarrer l’aquariophilie responsable? La première étape, ça va être de se renseigner et si vous êtes là, je pense que c’est ce que vous faites déjà sûrement. En effet, et vouloir se renseigner sur les besoins des espèces que vous souhaitez maintenir, sur leurs exigences concernant la captivité et l’aquarium, on évite à tout prix les espèces qui ne conviennent pas à la captivité. Il y en a plein.

Comme vous avez pu le remarquer, il y a des centaines d’espèces de variétés de poissons différentes en aquarium. Il y en a un sacré paquet aussi, mais y en a plein qu’on ne peut pas mettre en aquarium. Donc éviter toutes ces espèces, ça ne sert à rien de les essayer, de les ajouter, leur bien-être. Il sera nul et sera zéro et ce n »est vraiment pas le but de l’aquariophilie. Donc le principe c’est de maintenir dans des bonnes conditions et favoriser le bien-être des poissons. Donc pour ça, prenez le temps de vous renseigner sur les besoins spécifiques de chaque espèce afin qu’elle puisse s’épanouir dans votre aquarium.

L’aquariophilie responsable sur l’origine des poissons

Ensuite, on va privilégier l’achat de poissons issus d’élevages durables et non pas des poissons capturés dans la nature et poissons sauvages. Cette pratique, elle est souvent parfois associée à de la surexploitation. Donc vraiment, on évite, on n’est pas là pour ça. Ce n’est pas le but. Privilégiez les élevages respectueux de l’environnement et des espèces. Donc renseignez-vous selon où vous habitez, il y en a qui sont plus ou moins proches, donc je vous laisse aller regarder tout ça, mais évitez les poissons qui proviennent de pratiques nuisibles.

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Donc c’est pour ça que je vous conseille de refuser tout soutien aux pratiques préjudiciables environnement et au bien être des poissons. Il faut savoir que la surpêche est une des menaces principales de l’extinction de certaines espèces et de certains habitats. Donc c’est pour ça qu’il faut préserver les habitats naturels. Il y a plein de manières différentes. Je vous laisse vous renseigner sur les projets locaux, les initiatives locales près de chez vous. N’hésitez pas à les soutenir. D’ailleurs, c’est toujours c’est toujours cool et puis c’est important. Après bien sûr, j’imagine que si vous habitez en France, les initiatives locales, elles ne seront pas toujours forcément en rapport avec l’aquariophilie et les poissons que vous maintenez dans vos aquariums. Mais, mais c’est un détail, ça reste tout aussi important parce que les habitats naturels, ils regroupent, certes, certains poissons, mais aussi plein d’autres espèces.

Un enjeu majeur

C’est une diversité d’espèces assez énormes qui peuvent être menacées par la destruction de leur environnement naturel. Donc je ne peux que vous conseiller de vous diriger vers ces initiatives et ces associations. Sachez qu’en général, les poissons d’eau douce proviennent d’élevage, mais les poissons d’eau de mer, ce n’est pas encore tout le temps le cas. Et là ça pose une vrai problématique, notamment sur les récifs de coraux et certaines minorités de poissons qui rentrent dans les aquariums. Mais ceux qui sont pêchés, sont souvent transportés dans de mauvaises conditions, ils viennent souvent d’assez loin et ils ne sont pas toujours très bien traités.

Donc attention, vraiment, essayez de vérifier d’où proviennent vos poissons. Vous aurez fait le premier grand pas vers l’aquariophilie responsable et je pense que c’est un sujet qui mérite vraiment notre attention. Donc rentrons un peu plus dans le vif du sujet par rapport à nos aquariums. Il y a différentes pratiques qui permettent de réduire l’impact environnemental qu’on va avoir. On va voir tout ça dans cette partie.

Limiter la consommation

La consommation d’eau

Tout d’abord, la consommation d’eau. Il faut savoir que les changements d’eau sont hyper importants. Ils permettent notamment de maintenir un équilibre et des conditions de vie adaptées à vos poissons. Mais mine de rien, à force, ça commence à faire une belle quantité d’eau qui peut entrer un gaspillage d’eau si l’eau n’est pas forcément bien réutilisée ou bien utilisée.

Donc la plupart du temps, on va laisser l’eau du robinet la laisser reposer quelques heures avant de l’intégrer dans l’aquarium pour éviter l’ajout de mauvaises substances. Mais c’est une personne aussi qui utilise l’eau de pluie. Mais attention à ce que votre eau ne soit pas polluer. Le risque majeur avec cette technique-là, c’est que l’eau va être polluée et vous ajoutez des mauvaises substances dans votre aquarium qui peuvent être plus ou moins nocives. Je ne vais pas rentrer dans le détail dans cet épisode là, mais je vous invite à vous renseigner quand même. Ça peut être une solution pratique et ça reste envisageable. Et pour l’eau que vous avez siphonnée pour votre changement d’eau, vous pouvez la réutiliser.

Ça va être une eau qui va être très riche pour vos plantes notamment. Vous n’hésitez pas à arroser vos plantes avec l’eau de l’aquarium et puis après libre à vous et à votre créativité de réutiliser l’eau comme bon vous semble. Si vous voulez minimiser au maximum vos changements d’eau, évitez les poissons pollueurs comme les poissons rouges chez des gros pollueurs et mettez en place une illustration qui va être efficace. Ce que sans filtration, les changements dont ils vont devoir être beaucoup plus récurrents et beaucoup plus nombreux. Nous voilà pour les changements d’eau.

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La consommation d’électricité

Ensuite, on va avoir la consommation électrique avec le filtre, le chauffage et l’éclairage. Donc ce que je vous conseille, c’est surtout d’opter pour un éclairage LED. C’est plus économe, c’est plus écologique avec des LED, ça permet déjà d’économiser une grande partie de la consommation que vous auriez avec d’autres types d’éclairage, sans perdre forcément en puissance ou en efficacité, ça aide tout aussi bien, voire même mieux parfois. Donc n’hésitez pas à opter pour des LED et vous pouvez aussi baisser à température. Enfin, évitez si jamais votre poisson tolère une eau entre 22 et 26, pas besoin de la monter jusqu’à 26 degrés 24, ça suffit largement. 23 même, ça peut très bien le faire. S supportent, pas besoin de monter au maximum de la température tolérée par votre poisson et par votre et par vos espèces.

Et enfin, il faut bien entretenir votre aquarium et pour ça plantez beaucoup de plantes aquatiques, ce qui permet de maintenir un meilleur équilibre dans votre aquarium et n’hésitez pas à siphonner les déchets qui sont sur le sol de votre aquarium.

Les dernières astuces pour un aquarium responsable

Une autre technique intéressante et naturelle, ça va être la filtration biologique qui avoir rajouté des supports de filtration biologique dans votre aquarium, dans votre filtre surtout. Donc je vous renvoie sur l’article que j’ai écrit sur le sujet pour plus de détails. Mais en gros, cette filiation biologique, elle va permettre l’apparition et la colonisation de bonnes bactéries qui vont permettre d’éliminer les substances toxiques comme l’ammoniac et les nitrites pour les transformer en nitrates qui sont assimilables par les plantes et non toxiques pour les poissons à petite dose. Et donc pour ça, je vous conseille d’acheter en vrac. Pareil pour la ouate et la mousse, ça vous coûtera moins cher, ça fait moins d’emballages. Donc voilà.

Donc voilà, on a fait le tour des grandes lignes de la corruption irresponsable et des bonnes pratiques à mettre en place. Après, il existe plein d’autres petites techniques, donc je vous invite à vous renseigner davantage si jamais ça vous intéresse. En attendant, si le peu de cas vous a plu et je vous remercie d’être arrivé jusque-là, si le podcast vous a plu, je vous invite à vous abonner pour ne rien rater. Allez faire un tour sur le blog pour découvrir plein d’autres contenu sur l’aquariophilie et vous pouvez laisser une petite note, un petit commentaire sur iTunes, ça fera toujours plaisir, ça serait très gentil. Je vous en remercie d’avance et je vous dis à la prochaine pour un nouvel épisode! À bientôt! Tchao! »

Voici pour le podcast sur l’aquariophilie responsable ! 🙂

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